Calendrier de l’Avent

Pour le premier jour de notre calendrier de l’Avent paroissial, voici une petite explication sur la couronne et sa signification 🕯🕯🕯🕯

Deuxième jour de notre calendrier de l’Avent paroissial – veillez !

Troisième jour de notre calendrier de l’Avent 😇✨️🎄

Quatrième jour de notre calendrier de l’Avent paroissial ✨️ Sylvaine nous parle de Noël quand elle était petite 😇

Pour le cinquième jour de notre calendrier paroissial, une prière pour le début de l’Avent 🙏✨️🎄

Pour le sixième jour de notre calendrier de l’Avent paroissial une énigme 🕵‍♀️✨️🎄

💡Une des trois églises de ce week-end abrite un joli tableau de la Sainte Famille du XVIIIe siècle attribué au peintre français Nicolas Guy Brenet 🎨

❓️Dans quelle église se trouve-t-il ?

1.Bazoques 2.St Martin St Firmin 3.Montfort sur Risle

C’est dimanche jour du Seigneur et notre spécialiste liturgique est au rendez-vous 😇

Les lectures et le psaumes achevés vient le temps de l’acclamation qui précède l’évangile. Pour toute l’année, c’est le chant de l’Alléluia qui sert d’acclamation, sauf pendant le carême où un simple verset en tient lieu 🎶

Loin d’être un simple chant servant à occuper les fidèles pendant la mise en place de la procession de l’Évangile, « ce genre d’acclamation constitue un rite ou un acte ayant valeur en lui-même, par lequel l’assemblée des fidèles accueille le Seigneur qui va leur parler dans l’Évangile, le salue et professe sa foi en chantant », comme le dit la Présentation générale du missel romain 📚

Chanté par les hébreux qui ponctuaient ainsi certains psaumes, l’Alléluia est aussi présent dans le livre de l’Apocalypse, proclamé par les anges et la foule des élus.

C’est donc assez naturellement qu’il est passé dans la liturgie. Apparu d’abord dans les rites des Églises d’orient, il fut introduit dans la liturgie romaine au IVème siècle par le pape saint Damase. À partir de son introduction à Rome, son emploi semble avoir varié : réservé au jour de Pâques, puis chanté en tout temps, il fallut attendre le pontificat de saint Grégoire le grand, à la charnière des VIème et VIIème siècles, pour que cet illustre pape établisse le chant de l’Alléluia pendant toute l’année, exceptés le temps du Carême et l’office des morts 🙏

Chanté par la schola et par les fidèles, l’Alléluia est suivi par un verset prit dans le lectionnaire, ou bien, si l’on utilise le répertoire grégorien, par un verset de psaume.

Au temps du carême, l’Alléluia est remplacé par un simple verset, pris lui aussi au lectionnaire, et accompagné par un refrain repris par l’assemblée. À la place de ce verset, l’usage grégorien remplace l’alléluia par le « trait ». Cette pièce grégorienne est appelée ainsi car elle est constituée par plusieurs versets de psaume chantés « d’un trait », sans refrain 🎶⛪️

Depuis hier nous voilà entrés dans la deuxième semaine du temps de l’Avent où nous sommes appelés à préparer le chemin du Seigneur 😇🙏

Neuvième jour de notre calendrier paroissial ✨️🎄 Et si on regardait de plus près la crèche et son histoire ? 👼🙏

Dixième jour de notre calendrier de l’Avent paroissial ✨️🎄 Noémie nous parle de sa crèche quand elle était petite 😇

Bonne fête de l’immaculée Conception 🙏😇

Une prière à Marie pour bien démarrer ce douzième jour de notre calendrier de l’Avent paroissial 🙏😇Source : Aleteia

Treizième jour de notre calendrier paroissial 🎄✨️

Installer une crèche n’est pas de tout repos 😱 Deux heures condensées en une minute – accrochez-vous bien ! Vous pouvez admirer cette crèche en l’église de Saint Georges du Vièvre.

C’est dimanche jour du Seigneur et notre spécialiste liturgique est au rendez-vous 🙏

« La proclamation de l’Évangile constitue le sommet de la liturgie de la Parole » (Présentation générale du missel romain)

Si les 1ère et 2ème lectures ainsi que le psaume font en quelques sortes entendre la voix des serviteurs, la liturgie de la Parole culmine avec la proclamation de l’Évangile qui fait entendre la voix du Maître.

La mention la plus ancienne de la lecture de l’Évangile dans la liturgie romaine se trouve dans les écrits de St Justin, qui mourut à Rome vers l’an 165. Le martyr, dans son évocation des célébrations des premiers chrétiens de Rome, parle en effet de la lecture des « mémoires des apôtres ».

Aux commencements de la liturgie romaine, le choix des passages évangéliques était plutôt disparate, puis apparurent progressivement des cycles, comme par exemple la lecture du discours de Jésus après la Cène, tiré de l’Évangile de Jean, qui était lu durant le temps Pascal.

La dernière réforme liturgique, pour répondre aux vœux des pères conciliaires d’ouvrir plus largement les trésors de la sainte écriture aux fidèles, réorganisa le cycle des lectures sur trois années, appelées respectivement A, B et C.

L’année A, dans laquelle nous sommes actuellement, est dévolue à la lecture de l’Évangile selon St Matthieu, l’année B est celle de l’Évangile de St Marc, et l’année C de l’Évangile de St Luc.

L’Évangile selon St Jean, quant à lui, est lu principalement lors des célébrations majeures de l’année liturgique. Pour la messe du jour de Noël, par exemple, c’est l’admirable prologue de l’Évangile johannique qui est lu. Pour le Vendredi Saint l’on entend la Passion selon St Jean. Ou bien encore pendant les dimanches du temps Pascal, la liturgie propose plusieurs passages tirés de l’Évangile de l’apôtre bien-aimé.

« L’Évangile est la bouche du Christ. Il siège dans le ciel, mais il ne cesse de parler sur la terre », dit saint Augustin.

Puisque nous reconnaissons que le Christ nous parle dans l’Évangile, la liturgie pare sa proclamation de marques de respect et d’honneur : on l’écoute debout, les servants l’entourent de leurs chandeliers illuminés et les ministres sacrés le vénèrent en l’encensant et en l’embrassant. 😇🙏

Depuis hier nous voilà entrés dans la troisième semaine de l’Avent où nous sommes appelés à la joie 🙏

Source Aleteia

Noël s’approche ✨️👼✨️ Avançons dans la joie 😇🙏

C’est jeudi, le dix-huitième jour de notre calendrier paroissial et notre spécialiste liturgique est là pour nous donner quelques explications supplémentaires sur dimanche dernier, dimanche de la joie 😎🙏

« Gaudete omnes in Domino semper »

Soyez toujours dans la joie du Seigneur 😇🥳

C’est par ces mots tirés de l’épître de St Paul aux Philippiens que s’ouvrait la messe du dimanche dernier, le troisième de l’avent 🕯🕯🕯

Dimanche de la joie, ce jour était marqué d’une particulière solennité à Rome durant le haut moyen-âge, comme en témoignent les anciens Ordines romani 📚

De cette tonalité de fête, il ne reste aujourd’hui que l’usage de la couleur rose pour les vêtements liturgiques, comme si le blanc festif s’était mêlé au violet en usage pendant tout l’avent 🌷

À l’exemple de la liturgie qui rayonne déjà de la joie de Noël, nous aussi, mettons dans nos cœurs cette joie que le Seigneur nous donne 💫🥳

Il est proche, encore un peu de temps, et nous laisserons éclater pleinement l’allégresse de son avènement ! 🙏👼

Ô bons paroissiens et amis de Montgeoly, demain nous serons plus qu’à une semaine de Noël 🥳💫
Ô joie ! Ô allégresse !

Vous sentez comme un thème ? 🤔😉

Eh oui ! Pendant les sept jours avant Noël de grandes antiennes précédent le Magnificat aux vêpres. Elles commencent toutes par l’interjection Ô ! 😌😇

Cet Ô ! est adressé au Christ par des titres de l’Ancien Testament :

O Sapientia – Ô sagesse

O Adonai et Dux domus Israel – Ô Adonaï et Chef de la maison d’Israël

O Radix Jesse – Ô Rameau de Jessé

O Clavis David – Ô Clef de David

O Oriens – Ô Orient

O Rex gentium – Ô Roi des nations

O Emmanuel – Ô Emmanuel

Elles nous annoncent que Noël est tout proche 👼💫

Si vous prenez la première lettre de chaque titre en Latin, en commençant par la dernière et en remontant, elles forment les mots ERO CRAS qui veut dire « Je serai là demain » 🤗

Un peu de patience et d’espèrance donc, on y est presque 🙏 😇

Jour 20 de notre calendrier de l’Avent paroissial 🌲✨️

Aujourd’hui le Père Philippe nous partage ses souvenirs de Noël en famille 😇

Les messes de ce week-end :

Samedi

18h00 – Lieurey

Dimanche

09h30 – St Philbert sur Risle

11h00 – Giverville

Depuis hier nous sommes entrés dans la quatrième semaine de l’Avent 🌲✨️ Toutes les bougies sur nos couronnes de l’Avent sont allumées. La lumière grandit, Noël approche 🕯🕯🕯🕯

Jour 22 de notre calendrier paroissial 🎄✨️ Aujourd’hui une prière à Marie pour bien démarrer
la journée 🙏😇

Source : Aleteia

La quatrième semaine de l’Avent annonce les événements qui précédent la naissance du Christ ✨️

Hier, c’était l’Annonciation quand l’ange Gabriel est venu annoncer à Marie qu’elle allait donner naissance au Fils de Dieu 👼

« Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole. »

Aujourd’hui, c’est la Visitation. Marie rend visite à sa cousine Élisabeth pour annoncer la bonne nouvelle. Nous entendons la joie d’Élisabeth, la joie de Marie et la joie aussi de Jean-Baptiste 😇

« D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vient jusqu’à moi ?
Car lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. »
🙏

Suivons ensemble ces événements jusqu’à Noël ✨️🎄 C’est tout proche, plus que 4 jours 😇🙏

Notre spécialiste liturgique est avec nous aujourd’hui 😇

Depuis le 17 décembre, la liturgie nous fait entendre chaque jour un passage des Évangiles qui précéde le récit de la Nativité. Aujourd’hui, nous entendons le cantique de la Bienheureuse Vierge Marie 🎶

Répondant à la salutation de sa cousine Élisabeth, la Vierge Marie fait monter vers Dieu son cantique de reconnaissance.

Ces versets 46 à 55 du premier chapitre de l’évangile de Saint Luc forment ce cantique auquel la liturgie a donné le nom de « Magnificat », car c’est le premier mot de sa version latine.

Parce qu’il est un chant d’action de grâce, la liturgie latine a fait de ce cantique le sommet de l’office du soir que l’on appelle « vêpres ». Alors que la journée s’achève, c’est par ces paroles pleines de reconnaissance et de joie que l’Église rend grâce à Dieu pour ses dons 🙏

Et parce que ces paroles ont été prononcées par Celle qui a porté en son sein le Fils de Dieu, la liturgie entoure le chant du Magnificat de plusieurs signes d’honneur : on se lève pour le chanter, on se signe à ses premiers mots, et c’est à ce moment qu’on encense l’autel lorsque les vêpres sont célébrées solennellement 🎶

Enfin, le ton employé pour le chanter est toujours plus développé que celui du reste de l’office : si les psaumes sont les bourgeons, le Magnificat, lui, est la fleur qui éclos dans le nouveau testament. Cantique de la nouvelle alliance, chaque verset de ce chant est entonné et terminé d’une manière plus ornée, comme pour envelopper de plus de beauté les bienheureuses paroles qui jaillirent de la bouche de la Mère de Dieu ! 😇🙏

L’Évangile d’aujourd’hui nous relate la naissance de Jean Baptiste

Vous vous souvenez que quand l’ange Gabriel a annoncé à Zacharie qu’Élisabeth, sa femme, allait mettre au monde un fils qu’ils devaient appeler Jean, Zacharie ne l’a pas cru. À cause de son manque de foi, il a été réduit au silence jusqu’au jour où le projet de Dieu se réalisera.

Aujourd’hui nous assistons à ce moment. Nous suivons Zacharie et Élisabeth au temple pour la circoncision de leur fils. La tradition veut qu’ils donnent le nom de son père à l’enfant mais Élisabeth intervient pour dire qu’ils souhaitent l’appeler Jean, comme demandé par l’ange 👼

On demande confirmation à Zacharie et il écrit sur une tablette « Jean est son nom ». 📜

« À l’instant même, sa bouche s’ouvrit, sa langue se délia : il parlait et il bénissait Dieu. »

Demain nous verrons ce que Zacharie fera de sa voix retrouvée 🙏😇

Dernier jour de notre calendrier de l’Avent !

Hier, nous avons laissé Zacharie au moment où il retrouve sa voix.

Aujourd’hui, l’Évangile nous fait entendre le cantique de Zacharie que dans sa joie, il entonne pour célébrer Dieu qui sauve son peuple en envoyant son fils Jésus et en prophétisant la vocation de Jean.

« Toi aussi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut ; tu marcheras devant, à la face du Seigneur, et tu prépareras ses chemins. »

Ce cantique, comme le Magnificat de Marie, fait partie de la liturgie des heures sous le nom de « Bénédictus ». C’est la prière du matin et il nous appelle comme Jean Baptiste à préparer les voies du Seigneur.

Cette nuit est celle où la « visite » de Dieu annoncée par Zacharie sous la forme d’un astre qui illuminera les ténébres arrivera.

Il est tout proche, la lumière s’agrandit !